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Photo du rédacteurJude D.

Haro sur les Gynécos - Le cas Libération

Dernière mise à jour : 26 sept.

Un autre exemple d'utilisation des médias par les transactivistes afin d'intimider des professionnels de santé et les rallier à la cause.


La campagne d'intimidation visant les gynécologues, orchestrée par nos amis transactivistes, continue de battre son plein!


C'est au tour de @libe de faire pleurer dans les chaumières avec exactement les mêmes recettes moisies que celles déployées chez @Bruce_Toussaint sur @BFMTV et le reste des médias en général: un savant mélange de présentation mensongère des faits et de techniques de manipulation émotionnelle visant à paralyser tout esprit critique.


Voir: BFM TV ou cachez-moi ce sexe que je ne saurais voir...


J'ai donc traduit cet article rédigé en novlangue transactiviste, en français courant. Vous apprécierez...


"Combien de refus de soins Vanessa (1) a-t-elle essuyés ? Difficile de tout compter. «Au moins une dizaine», peut-être plus. Un matin de 2021, elle épluche les numéros de gynécologues exerçant à Lyon et ses alentours. Elle passe un premier coup de fil, un deuxième, puis encore un autre…"


Apparemment, une pauvre femme, Vanessa, essuie refus sur refus, la pauvre, pleurez dans les chaumières, auprès de tous ces méchants gynécos qui refusent de manière incompréhensible de lui accorder un rendez-vous.


Mais pourquoi Seigneur, pourquoi?!?


Eh bien parce que Vanessa, est, est... Un homme.


Un homme trans-identifié, qui apparemment n'a rien d'autre à faire de ses journées que de déranger le standard de gynécologues, qui ne sont pas formés à prendre en charge des hommes, au lieu de contacter un médecin compétent à assurer l’entretien post opératoire de l'orifice artificiel qu'on lui a créé afin de tenter d'imiter, en vain, un sexe de femme.


"Chaque fois qu’elle mentionne qu’elle est une femme transgenre, impossible d’obtenir un rendez-vous. Alors que certaines de ses amies, qui ne sont pas des personnes trans, obtiennent des consultations aux mêmes endroits. Changement de méthode : Vanessa appelle sans parler de sa transidentité. Et là, «la seule fois où je ne l’ai pas mentionnée, on a accepté de me recevoir»."


Traduction: A chaque fois que Vanessa mentionne au gynécologue qu'il est un homme qui se sent femme dans sa tête, celui-ci lui explique qu'il ne peut hélas le prendre en rendez-vous, car il est un médecin spécialisé dans la santé sexuelle et reproductive des femmes.


Alors que certaines de ses amies qui sont des femmes, obtiennent des consultations aux mêmes endroits. Changement de méthode : Vanessa appelle en faisant semblant d'être une femme. Et là, «la seule fois où j'ai fait semblant, on a accepté de me recevoir». CQFD.


"Vanessa a 30 ans et sort tout juste d’une vaginoplastie, une opération chirurgicale consistant à construire un néo-vagin. Se rendre chez une gynécologue est une «nouvelle étape dans [sa] longue transition»."


Traduction: Vanessa vient de subir une opération destinée à faire ressembler son sexe d'homme à un sexe de femme, en lui coupant son pénis puis en construisant artificiellement un pseudo sexe féminin avec les restes de feu ce pénis et des parties de son colon.


Se rendre chez un gynécologue est une manière pour lui de se sentir exister et de l'aider à se convaincre qu'il est devenu une femme.


"Une fois face à la médecin, elle explique qu’elle est une femme trans. Grimace de la soignante. «Son malaise m’a tout de suite fait sentir que je n’étais pas comme les autres.» "


Effectivement, Monsieur, vous êtes décidément bien perspicace!


Vous êtes un homme, vous êtes donc évidemment différent des autres patientes qui sont des femmes.


Beaucoup de compassion pour la pauvre gynécologue qui a fait 10 ans d'études pour exercer un métier dédié à la santé des femmes, et qui se retrouve en plein traquenard, nez à nez avec un homme voulant lui faire examiner son entrejambe en patchwork de peau de pénis et lambeaux de colon.


" Pourtant, Vanessa a les mêmes interrogations que n’importe quelle patiente : elle a «des douleurs dans la poitrine, des infections urinaires, des pertes blanches… Rien que la gynécologue ne sache prendre en charge. Mais cette dernière se contente de quelques mots : «Je ne suis pas spécialiste du tout de cette question.» Cette question ? Vanessa traduit : «En gros, les femmes trans...»


Traduction: Ignorant tout de ce que c'est que d'être une femme, cet homme confond les conséquences d'une opération destinée à faire ressembler un pénis et des testicules à un sexe de femme et les effets secondaires de ses traitements hormonaux, avec les vrais problèmes gynécologiques pouvant être vécus par les femmes.


A cause de cette confusion, cet homme s'imagine, à tort, qu'un gynécologue est susceptible de pouvoir lui venir en aide.


Surmontant sa gêne évidente, la gynécologue victime de ce traquenard, a dû lui expliquer qu'elle n'était pas spécialisée dans le suivi post-opératoire des hommes ayant subi des opérations destinées à faire ressembler leur sexe d'homme à celui d'une femme.


Le reste étant réservé aux abonnés, je n'ai donc pas eu le plaisir extrême de pouvoir lire la fin de cette émouvante histoire...


@libe et @BFMTV même combat... Avec des sujets qui présentent une vision totalement erronée de la situation,  mensongère, et qui épouse sans aucun recul ni nuance, les éléments de langage misogynes du discours transactiviste.


Un orifice artificiel créé dans le corps d'un homme, qui devra être entretenu à vie à l'aide de dilatateurs, pour qu'il ne se referme pas, n'a strictement rien à voir avec cet organe de l'anatomie féminine qu'est le vagin.
Merci de ne pas insulter les femmes avec ce genre de comparaisons outrancières qui dénotent une méconnaissance totale de notre anatomie spécifique de femme.
Merci de ne pas faire insulte à l'intelligence de vos lecteurs en pensant qu'ils ne savent pas faire la différence entre un orifice artificiel créé dans le corps d'un homme et le vagin d'une femme.
Merci de respecter les femmes.

Allez donc lire ce que j'écrivais il y a quelques jours à vos collègues de BFMTV, et essayez de faire votre travail de journalistes au lieu de relayer sans aucun esprit critique les campagnes de propagande misogynes des transactivistes.


Voir: BFM TV ou cachez-moi ce sexe que je ne saurais voir...


Si votre combat c'est de soutenir les lubies d'hommes narcissiques à l'égo démesuré, qui se croient tout permis et pensent que tout leur est dû, et qui harcèlent des médecins dédiés aux femmes, déjà trop peu nombreux pour assurer leur suivi, simplement car ces messieurs se "sentant femme" veulent se sentir exister et valider leurs fantasmes, il est vraiment temps de vous réveiller.



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