C'est l'un des mantras préférés des transactivistes...
Ne leur en déplaise et malgré leur cris d'orfraie: la "transphobie", notion floue et vide de sens qui ne fait l'objet d'aucun début de définition juridique, n'est qu'un concept militant et pas un délit puni par la loi.
La soi-disant "transphobie" dont les adeptes de la cause genriste nous rebattent les oreilles du soir au matin, ne consiste en réalité qu'en un rappel de faits: le mot Homme désigne le mâle humain comme le mot le mot Coq désigne un mâle gallinacé.
Choquant !
Cette soi-disant "transphobie" n'est pas un délit.
Dire que les mots Homme et Femme désignent le mâle et la femelle de l'espèce humaine et rien d'autre, n'est pas un délit
Ne pas croire à l'idéologie transgenriste n'est pas un délit.
Ne pas considérer qu'un homme est une femme sous prétexte qu'il l'a décrété n'est pas un délit
S'auto-proclamer femme et exiger d'être traité comme tel n'est pas un droit de l'homme
Ne pas vouloir que les espaces réservés aux femmes deviennent ouverts aux hommes n'est pas un délit.
Savoir et dire que nul n'est né dans le mauvais corps, n'est pas un délit
Savoir et dire qu'une lesbienne tout comme une femme ne peut avoir de pénis, n'est pas un délit.
Critiquer le sexisme, la misogynie et l'homophobie de l'idéologie transidentitaire, n'est pas un délit.
Critiquer la violence des militants transactivistes n'est pas un délit.
Vouloir garder nos mots, nos espaces, nos droits de FEMMES n'est pas un délit
Il est grand temps d'arrêter de nous bassiner avec ce genre de balivernes et de mantras mensongers.
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Activistes, mais visiblement pas juristes...
A force de répéter en chœur le mantra "La transphobie est un délit" il semble que certains activistes se soient mis à y croire...
Ramenons-les sur la planète terre...
L'assertion "La transphobie est un délit" est fausse.
Tout simplement.
Comme j'aime à le leur rappeler, la notion de "transphobie" n'est qu'un concept militant., qui ne fait l'objet d'aucune définition juridique.
La notion de transphobie ne figure dans aucune loi.
Tout comme aucune autre -phobie (homophobie, grossophobie etc.) ni aucun -isme (racisme, sexisme, âgisme, validisme, spécisme etc.).
Ce sont des notions que l'on utilsie dans le langage courant mais qui ne sont pas des concepts juridiques.
Ainsi, dire que "La transphobie est un délit" est faux: ce n'est qu'un slogan militant dépourvu de toute réalité juridique.
Ce qui par contre est vrai, c'est que nous disposons de lois permettant de punir certains comportements précis susceptibles de relever de certaines de ces -phobies ou de certains de ces -ismes.
Nous disposons par exemple d'un texte de loi permettant de punir les incitations à la haine, à la violence ou à la discrimination des personnes en raison de leur race, de leur sexe, de leur handicap... et aussi de leur "identité de genre".
Ainsi, l'article 24 de la loi de 1881 al.7 et 8. dispose par exemple que:
"Ceux qui, par l'un des moyens énoncés à l'article 23, auront provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, seront punis d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende ou de l'une de ces deux peines seulement.
Seront punis des peines prévues à l'alinéa précédent ceux qui, par ces mêmes moyens, auront provoqué à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur sexe, de leur orientation sexuelle ou identité de genre ou de leur handicap ou auront provoqué, à l'égard des mêmes personnes, aux discriminations prévues par les articles 225-2 et 432-7 du code pénal."
Ainsi, si prétendre que "La transphobie est un délit" est faux, on peut à juste titre dire que l'incitation à discrimination, à la violence ou à la haine d'une personne en raison de son "identité de genre" est un délit.
Le problème c'est que les activistes de la cause genriste ne posent jamais les choses en ces termes, et pour cause, vu qu'ils utilisent ces dispositions afin, non de dénoncer des personnes incitant à la haine et à la violence contre eux mais de faire taire leurs interlocuteurs en assimilant tout début de critique de leur idéologie ou remise en question de leurs dogmes à un grave "délit de transphobie"...
Il va sans dire que dans cet objectif l'utilisation du mantra "La transphobie est un délit" par son imprécision et son caractère flou, se révèle bien plus pratique que l'utilisation de la formule juridique idoine, qui les obligerait à nous démontrer en quoi le fait dire qu'un homme se déclarant "femme trans" est un mâle humain, serait constitutif d'une incitation à la haine ou à la violence...
Tâche pour laquelle je leur souhaiterais beaucoup de courage...
Nos amis transactivistes sont d'ailleurs tellement à la peine pour justifier en quoi le fait de dire qu'un homme est un mâle humain serait une incitation à la haine, à la discrimination ou a la violence qu'il sont carrément allés nous tirer de leur chapeau, une loi... belge !
Laquelle, en plus, ne concerne même pas l'"identité de genre" mais l'orientation sexuelle...
Tout, absolument TOUT est bon, afin de tenter de noyer le poisson et de faire taire toute critique de leur idéologie.
Alors ce ne sont visiblement pas des juristes et les recherches Google par mots-clés sont rarement très efficaces en matière de démonstrations juridiques...
Cela dit, ces subterfuges permettent néanmoins de polluer le débat et de créer suffisamment de bruits parasites et de confusion pour dissuader de nombreuses personnes de prendre la parole de crainte d'être assimilées à des racistes ou autres homophobes; ce qui est précisément la raison pour laquelle cette notion est utilisée: servir de muselière, brider les critiques.
Autre exemple d’instrumentalisation: le fait que la victime soit de telle race, sexe, ethnie ou "identité de genre" peut constituer une circonstance aggravante à certaines infractions.
C'est très bien, mais là encore, on peine à voir, pour reprendre par exemple le cas ci-dessous, en quoi le fait de relever qu'un homme se définissant comme "femme trans" soit un mâle humain, serait susceptible d'être qualifié d'injure...
Par ailleurs, il est intéressant de noter que de nombreux défenseurs de l'idéologie trans s'imaginent que le fait que "l'identité de genre" soit mentionnée par certaines lois comme élément constitutif d'une infraction ou comme facteur aggravant, serait la preuve d'une forme de reconnaissance légale de cette notion, de sa légitimité, ou de la pertinence et de la validité de l'idéologie genriste.
Ce n'est bien évidemment pas le cas, comme je dois souvent le leur rappeler.
La race ou la religion sont mentionnées par les mêmes lois ce qui ne signifie bien évidemment pas que nos institutions accréditent le fait que l'humanité est composée de plusieurs races ni encore que Dieu existe...
Excellente transition pour évoquer la notion de discrimination, tant elle est instrumentalisée par les défenseurs de la cause trans afin de tenter de nous faire taire.
Ils aiment tout particulièrement nous relayer un certain article du ministère de l'intérieur (une archive de 2017...) qu'ils envoient systématiquement comme preuve écrasante et irréfutable que oui, la transphobie serait bien un délit...
Hélas pour eux, cela ne fait que nous renseigner sur leur degré de méconnaissance de ce qu'est une discrimination...
Comme ils l'ignorent, éclairons donc leur lanterne...
Une discrimination, au sens de la loi, ce n'est pas tout ce qui contrarie ou vexe une personne déterminée...
Mais c'est le fait d’être privé d'accès à certains droits définis par la loi à cause de notre appartenance à une catégorie de personnes protégée, également définie par la loi.
Plus précisément, les domaines de la discrimination prévus par la loi sont:
J'aimerais vraiment beaucoup que les adeptes du mouvement genriste nous expliquent en quoi le fait de dire que les mots homme et femme désignent le mâle et la femelle de l'espèce humaine prive quelqu'un d'accès à l'emploi, à un logement ou à une boite de nuit...
De telles extravagances seraient risibles si elles n'étaient le fait que de quelques péquins incultes zonant sur les réseaux et qui ne disposaient d'aucune influence...
Hélas, le mantra "La transphobie est un délit" est très largement repris en chœur par des journalistes, des hommes politiques et des membres influents - et censément éduqués - de la société civile, comme on peut le voir ici... Et ce sans aucun début de remise en question d'aucune sorte.
Récitation de mantras: Florilège...
Le problème, c'est que ce mantra loin de se cantonner à quelque joute verbale sur les réseaux ou autre passe d'armes théâtrale entre politiciens et journalistes amateurs du genre, trouve son prolongement bien réel dans des chasses aux sorcières judiciaires où des femmes se retrouvent aux prises de procédures bâillon destinés à les punir de s'être exprimées et à intimider celles qui auraient la velléité d'emprunter le même chemin.
Que des militants jouent leur partition et leurs atouts, au prix parfois de certaines outrances, c'est le jeu. Que des journalistes, des politiques ou des membres de la société civile qui devraient avoir à cœur d'appréhender les sujets avec rigueur et précision et au minimum de ne pas répandre de fausses informations, c'est tout simplement inadmissible.
Le débat démocratique mérite mieux qu'un concert de perroquets ventriloques...
#RiposteFeministeXX à cette attaque réactionnaire et masculiniste contre les droits et libertés des femmes. STOP à la MISOGYNIE, au SEXISME, à la LESBOPHOBIE
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